jeudi 8 octobre 2009

London fucking ou the return of the space shuttle Big Pussy

Partie du 2/10.
Participants : Anne "La Squale" Sophie; Ali "Wine House"; Nono "Daredevil Begins"; Jean-Jacques "Big Pussy"; Tintin "The Cow Boy"; Washi "The Unabomber"; Fifi "Gay Loser".
1er : Jean-Jacques "Big Pussy",60$
2ème : Washi "The Unabomber", 10$
Kennedy Space Center. Cape Canaveral -10/03/2009-1AM.
-"Chef! On a un signal sur le radar"
-"No!! Impossible !!"
-"Si C'est lui, la navette Big Pussy. It’s not true!".

Eh oui, comme le révèle cet enregistrement intercepté dans la nuit du 02 au 03/10 il est revenu tel le Phénix renaissant de ses cendres, Big Pussy est revenu lors de la partie du 02/10.
Tel Rambo, sortant des rizières, il a sorti son jeu, ses petites mains se sont mises à bouger frénétiquement, elles ont réussi à se connecter à l’ordinateur central appelé aussi cerveau et là comme Pinocchio s’éveillant à la vie ses yeux se sont mis à briller et les cartes ont chanté dans ses mains comme un banjo dans les mains d’un habitant du bayou.
C’était beau comme la naissance d’un petit ourson blanc au zoo de Berlin ou bien d’un petit baleineau.
Ce retour a laissé sans voix et sans ressources les plus doués des joueurs du FPT qui un à un se sont laissés prendre tels des lapins ou des petits faons pris dans le halo des phares d’une voiture. Même Washi « The Unabomber » s’est laissé prendre dans les filets de Big Pussy.
Mais au nom du sport, de la science essayons d’analyser ce retour :
Il faut bien avouer que ce soir là, l’ambiance était autre, sympathique, détendue, un « je ne sais quoi » de convivialité, de bonne humeur, une ambiance cool quoi régnait lors de cette partie.
Mais pourquoi une ambiance saine et sereine régnait-elle ce soir là.
Je ne vois qu’une raison, il n’était pas là ! Qui il ?
The President !
The President était parait-il à London ! Tant pis pour les anglais qui ont pu certainement apprécier son esprit perfide et sournois comme celui de Maggie Thatcher.
Ah on était bien tranquille avec de beaux échanges d’amabilité, de la courtoisie, de la classe quoi.
On n’est jamais aussi bien que quand les dictateurs sont en voyage !
"Quand j'étais petit, on m'a dit que n'importe qui pouvait devenir président. Je commence à le croire".
Clarence Darrow.

2 commentaires:

nonok a dit…

bravo a big pussy!c'est vrai qu'on est bien sans le president!

Washo a dit…

bravo au président pour le boulot !

et n'oubliez pas ce proverbe du Pillard qui dit "Qui s'attaque au Président mangera ses dents"