
Participants : Pipo "Plack Bad Beat", Caro "Two Fingers", Washi "The Raiser", Jean Jacques "Big Pussy", Fuent "the Professor".
1er : Pipo "BBB" : 40 $
2ème : Jean Jacques "Big Pussy" : 10$
Au terme d'une partie marathon, Pipo "Black Bad Beat" a enfin arraché vendredi soir sa première victoire dans un tournoi du FPT devant Jean Jacques "Big Pussy", 2ème pour la quatrième fois consécutive.
L'autre fait marquant de la soirée restera l'écroulement du "Raiser" qui après une nouvelle déconvenue, annonçait dans la foulée qu'il mettait sa carrière entre parenthèses.
Après la victoire étonnante de Caro "Two Fingers" la semaine dernière, l'heure est donc aux surprises dans ce Friends Poker Tour, avec le succès ce week-end, de Pipo dans la manche des Fougères.
Un succès qui relance donc l'intérêt de la compétition, bousculant quelque peu la hiérarchie établie jusque là et prouvant, comme aura pu le vérifier Caro "Two Fingers" incapable de rééditer son exploit, que la vérité d'un jour n'est pas celle du lendemain.
Mais le moins que l'on puisse dire est que cette victoire aura été acquise dans la douleur après quelques 6h30 de jeu qui auront eu raison de Jean Jacques "Big Pussy", dont la fatigue aura considérablement entamée la lucidité en fin de partie et qui échouait une nouvelle fois à la 2ème place, mais surtout de Fuent "the Professor" qui aujourd'hui encore doit se demander comment il a pu laisser échapper une victoire qui lui tendait les bras.
Car avec une chance insolente lui offrant des mains "royales" (un carré et plus d'une dizaine de full house), le recordman de victoires FPT avait réellement tous les éléments pour s'imposer.
Mais il faut croire que chance et fatigue ne font pas forcément bon ménage, comme allait le vérifier à ses frais le "Pofessor" qui en voulant étouffer la partie allait tomber sur un os (brelan de valet) et perdre à la fois près de 100 000 $ et toute chance de s'imposer.
En tout cas, avec cette victoire somme toute méritée, Pipo jusqu'alors en plein doute, devrait désormais mieux respirer et même, pourquoi pas, commencer à imaginer pouvoir se défaire de ce surnom de "Black Bad Beat" hérité de cette poisse qui lui collait à la peau.
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